Institut de musique Orphée
7 avenue de Castres
81210 Roquecourbe
05.63.75.33.20 - 06.13.52.13.36
contact @ fonds-orphee.org
Pour créer une salle de spectacle et de répétition conviviale et agréable pour tous, l’acoustique doit être un des objectifs principaux. Dans notre projet Orphée, nous prenons soin de la dimension acoustique qu’aura l’auditorium, aussi bien pour le confort des musiciens et des spectateurs, que celui du voisinage qui ne doit pas souffrir de nuisances sonores.
Les textes réglementaires applicables pour ce type d’établissement sont complexes ! Exemple : il est stipulé dans l’article R.1334-34 que : « Les valeurs limites de l’émergence spectrale sont de 7dB dans les bandes d’octave normalisées centrées sur 125Hz et 250 Hz et de 5dB dans les bandes d’octave normalisées centrées sur les fréquences 500 Hz, 1000 Hz, 2000 Hz et 4000 Hz. »
Nous venons de nous appuyer sur un professionnel afin d’étudier pour nous ces points à respecter ; le cabinet « dBair » vient de nous rendre son étude complète. Il nous conseille sur les matériaux et techniques à mettre en œuvre lors de la réhabilitation du projet, pour que nos futures activités musicales ne soient pas à l’origine de plaintes vis à vis du voisinage. Malgré les efforts des musiciens, nous ne sommes pas à l’abri d’une fausse note qui pourrait irriter les oreilles mélomanes du voisinage…
Voici à titre d’exemples quelques techniques et matériaux à utiliser, la liste varie selon qu’il s’agisse d’un mur vertical, du sol ou du plafond : joints anti vibratiles sous rails support, vide d’air de 120mm d’épaisseur, contre-cloison maçonnée en brique creuse de 35mm d’épaisseur minimale, isolants divers…
Le 13 avril, l’entreprise DPI nous apporte son soutien pour l’opération mailing. Peut-être avez-vous reçu dans votre boite aux lettres un courrier vous demandant une promesse de don ? C’est grâce au soutien de DPI qui nous a a permis de nous adresser à plus de 400 personnes pour un tarif très amical. Encore merci à eux.
21 avril. Visite du local à réhabiliter avec l’entreprise de maçonnerie Poussines, intéressée pour la partie petite maçonnerie.
15 mai. Visite du local avec Pierre Eyssette, artisan plaquiste. Le projet le séduit pour sa dimension culturelle, musicale et « locale ».
16 mai. Rencontre avec les élus locaux (mairie et intercommunalité). Ils nous assurent de leur soutien de principe indéfectible, mais on ne pourra hélas attendre aucune subvention de leur part (un fonds de dotation ne peut recevoir de dons d’organismes publics).
30 mai puis 1er juin. Les formalités administratives annuelles : diffusion au journal officiel des comptes annuels et du bilan, puis envoi au préfet.
Au cours de ce printemps, nous avons eu le plaisir de recevoir de nombreuses promesses de don… Nous tenons à vous en remercier chaleureusement ! Le soutien que l’on ressent au travers de vos messages nous incite à persévérer.
Soyez assurés que nous mettons tout en œuvre pour la bonne vie de ce projet !
Depuis le début de l’année 2012, nous abordons des phases de plus en plus concrètes du projet Orphée. Les études de faisabilité s’affinent, et les rencontres avec les partenaires, les artisans et les élus traitent des points précis. Nous vous proposons de revenir sur quelques temps forts de ce semestre.
23 janvier. Par le hasard des connaissances communes, Jean-Louis Soulet rencontre J.-C. Perié, architecte. Dès les premiers échanges sur le projet, l’architecte se montre intéressé et enthousiaste ! La première réunion de travail a lieu quelques jours plus tard, le 15 février.
17 février puis 22 février. Le projet évolue, et il est désormais temps de préparer une convention-type de mécénat, et de faire évoluer le site Internet. C’est Isabelle Soulet qui va se charger de rédiger ce document juridique. Le site Internet est quant à lui à la charge de Fabrice Ponset, qui retient l’idée d’une partie « blog », afin de proposer à nos partenaires et sympathisants un « carnet de bord » de la vie du projet Orphée.
24 février. Visite du local à réhabiliter par l’entreprise de maçonnerie Chabbert. Lilian Cesco, responsable, prend les relevés et mesures nécessaires pour faire une évaluation chiffrée du lot maçonnerie-gros œuvre : pas de place à l’amateurisme !
29 février. Les rudes froids de l’hiver n’entament en rien notre motivation. Jean-Louis rencontre Maitre Pamponneau, notaire à Roquecourbe, puis Thierry Durand, expert-comptable chez FidSud pour envisager les meilleures solutions pour notre projet…
Rétrospective du 1er semestre 2012 à suivre…
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